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you can change my life ◮ nólhan&zéphyr

Sexe, drogue, et alcool sont les trois mots qui riment ma vie à présent. Les conquêtes d'une nuit et les sex friends riment ma vie également. Et un des sex friends qui rime ma vie également c'est Nólhan, un beau blond pleins de charmes mais un vrai connard avec les femmes. Ou du moins avec quelques femmes. Celles qui n'ont pas la chance d'être bonnes au lit, se retrouvent toutes seules au petit matin. Moi j'avais eu la chance et l'honneur d'être un bon coup à ses yeux même si je le savais déjà avant. Non Nólhan ne m'a dépucelé et non ce n'était pas un de mes premiers. Il serait difficile de compter le nombre de mecs que j'ai eu dans mon lit. Et il serait encore plus difficile de m'en souvenir étant donné que pour certains je ne connaissais même pas leur prénom. C'est depuis lors que j'ai arrêté de crier le prénom du mec au lit étant donné que je ne connais pas toujours celui-ci. Et crier un mauvais nom frustrait l’orgueil du mec en question. Et il y a pas une chose que j'ai appris; protéger le petit orgueil des hommes et encore plus leur ego. Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi les hommes sont aussi frustrés quand on parle de la taille de leur sexe ou encore de leurs performances sexuelles. Mais ce n'est pas là la question. Le sexe rime mes journées et j'ai tendance à trop en parler. Ou du moins à trop y penser. Recevant un texto de Nólhan je souriais. Il m'a toujours fait beaucoup rire ce petit blond, et son message était d'autant plus drôle. Je ne manquerais pas de passer une soirée à ses cotés d'autant plus que ça fait longtemps que nous ne nous sommes plus vus. Et puis sans lui lancer des fleurs c'est un de mes meilleurs coups pour ne pas dire le meilleur. Et passer une soirée à ses cotés fait toujours plaisir quand on sait qu'il est pareil que moi et qu'il n'omet jamais d'apporter une bonne bouteille. « Appelle moi boucle d'or attends toi à passer la meilleure soirée de ta vie, j'ai prévu la totale pour toi bébé. Oublie pas les capotes. » la fin de ma phrase sonnait tout de suite moins romantique. Mais le romantisme et moi ça fait deux. Et même si nous n'avions pas besoin de préservatifs étant donné que je prends autre chose comme moyen de contraception c'était juste pour la beauté de la phrase. Après avoir répondu je fila à la douche. Je sortis quelques vingt minutes plus tard et mis une tenue assez sexy. Je suis mannequin et connait l'art de la mode, alors ce n'est pas le style qui me manque. Je pris une petite tunique bleue, très facile à défaire et très osée. Assez courte, elle mettait en valeur mes jambes que je montrais assez peu finalement. Même en étant mannequin on peut aimer les jeans. Je boucla mes cheveux, mis un petit peu de maquillage et n'oublia pas la dose de parfum. C'est comme ça une fille, ça se parfume beaucoup trop mais ça plaît alors voilà on fait ce qu'on peut. À peine prête j'entendis des coups à la porte. Nólhan était là. Marchant d'un pas lent pour le faire mijoter, j'ouvris à demi la porte, passant ma tête. Toujours dans des combines débiles, il eut le don de me faire rire avec son histoire de pompier. « C'est ça et moi je suis Maryline Monroe. » dis-je d'un ton amusé. Je le laissa entrer dans mon appartement, par chance Ailee n'était pas là ce soir, on était donc seuls. Après être rentré Nólhan montra la bouteille qu'il avait apporté. Évidemment cela m'arrangeait même si généralement mes armoires à bouteilles sont bien remplies. Je souriais et chopa la bouteille de mes mains. Je pris deux coupes, remplis les verres plus que ce qu'il ne le faut et revint vers lui. Ce n'est pas la première fois qu'il vient alors à mon retour je le trouva sur le canapé, à son aise. Cela me fait toujours rire la façon qu'il a de toujours se sentir chez lui partout où il va. Mais j'aime ça, au moins j'ai pas à lui dicter ce qu'il doit faire, car j'ai horreur de ça. J'arrivai près de lui, lui tendis la coupe et me positionna sur ses genoux. De sorte à être face à face avec lui. Je pris mon verre, le tapa légèrement contre le sien et repris; « À nous et à notre soirée pleine de sexe! » dis-je en rigolant.

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Cette soirée risquait d'être bonne, très bonne et pas seulement sur le plan cul. Le beau Nólhan a le don de me faire rire et ça, ce n'est pas donné à tout le monde. Pas mal de gros lourds qui en ont qu'après mon cul essayent de faire de l'humour mais alors là c'est pire que tout. Nólhan lui ça sort naturellement, on dirait qu'il est naturellement bête et drôle. C'est un pauvre connard quand il le veut et un vrai ami quand il le peut. Je sais qu'en amitié il est très fidèle et surtout toujours là. Nous, on ne peut pas dire qu'on soit amis, on est plutôt très complice. Et même si notre relation est essentiellement basée sur le cul, et bien je sais que si j'ai besoin il sera là. Et inversement bien entendu. Dès son arrivée, le beau blond ne se fit pas prier. Comme à son habitude il s'installa à son aise sur le canapé. Je me positionna sur ses jambes histoire d'être assez proche pour qu'il sente mon odeur. Je sais que ce n'est pas si simple avec lui mais c'est toujours ça de pris. Oui, le jeune homme à l'habitude de vouloir me faire patienter. Mais cette fois-ci c'est moi qui avait envie de jouer. Atrocement envie et je comptais bien me jouer de lui. J'ai l'habitude de me jouer des hommes mais avec Nólhan c'est moins facile. Je suis terriblement attirée et puis comme dire non à un fessier aussi parfait? Lorsque je répliqua à sa pitrerie là de plombier il en profita pour lui aussi rétorquer, sans oublier de m'emmerder pour autant. Je souriais. J'aimais beaucoup ce petit jeu et puis avec lui c'est d'autant plus amusant. Et lorsqu'il parla de mes cheveux en utilisant le terme 'foin' je rigolais. Mes cheveux sont aussi doux et aussi parfaits qu'on ne puisse l'être. Faut dire y'à des mois d'entretiens derrière non mais je ne suis pas une fille qui teint ses cheveux à tout bout de chant. J'en prends soin et c'est normal surtout quand on exerce un métier comme le mien. « Bah non, t'as autant de souffle que ma grand-mère, il te faudrait un sèche cheveux plutôt. Et mon foin tu sais où tu peux te le mettre? » Mon dieu que diraient les filles de bonne famille? J'entends déjà ces gonzesses venir avec leur 'oh mais quelle vulgarité mon dieu'. Rien que ça, ça me fait pouffer de rire. Ouais je suis vulgaire, ouais j'ai tendance à me comporter comme une salope mais j'assume et j'emmerde quiconque m'emmerde. Et dans le cas présent, c'était Nólhan. J'étais contente de ma réplique, je lui avais embouché un coin là. Mais bon je savais que la réplique ne se ferait que peu attendre. Monsieur n'aime pas se faire battre par une fille et m'emmerder c'est son passe-temps favori. Puis lorsque je lui proposa une partie de jambes en l'air il nia et utilisa le monopoly comme excuse. Bidon. Mais il me fit rire quand même et ça c'est déjà bien. « Oh mon dieu, change de réplique tout le monde l'utilise. Mais j'ai mieux pour toi. Celui qui dit oui ou non enlève un vêtement ça va? ça fait un strip ni-oui ni-non. » Je me fis rire moi même. Où j'avais encore pêché cette idée? Quoi qu'il en soit, j'avais intérêt à faire gaffe étant donné que je n'avais qu'une robe et qu'une petite culotte. Bien sûr je pourrais jouer de mes bijoux mais Nólhan a plus de couches que moi sur ce coup. Après avoir pensé à mon super jeu, je soupira et bu l'entièreté de mon verre. J'allai chercher la bouteille, accompagnée d'une autre histoire qu'elle ne se sente pas seule et les ramena au salon. Je remplis le verre de nono et bu une gorgée du mien. Me positionnant à nouveau sur ses cuisses mais remontant légèrement vers son bassin, je souriais lorsqu'il me fit une sorte de compliment bien à lui. Ouais en faite c'est sa manière à lui de me dire que je suis jolie. C'était gentil, et tant qu'il me complimentait autant en profiter. Quand on me complimente je ne peux m'empêcher de sourire, mais là je me retenais car j'avais pas envie qu'il se sente trop puissant non plus. Buvant encore une ou deux gorgées je répliqua ; « Ouais bah tu pourras dire à ton engin, en fin de soirée si tout se passe bien, que j'ai été contente d'être en sa compagnie. » Je posa légèrement ma main sur son entre jambe histoire de vérifier s'il était bien là et souriais à Nólhan le regard pleins de sous-entendu.

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J'étais vraiment bien là, je profitais de ma soirée et elle risquait d'être chaude, très chaude. Et rien que de regarder Nólhan j'en avais presque des chaleurs. Ce mec depuis notre première rencontre m'attire grâce au truc qu'il dégage. Il est déjà vraiment drôle et puis j'ai pas l'impression d'être une pauvre conne qui lâche que de la merde avec lui. Bah non fatalement puisqu'il lâche encore plus de conneries que moi. C'est vrai faut l'avouer, il est pas mal dans ce domaine. Il aurait peut-être même du devenir clown. Il a déjà au moins l'allure et l'humour, je devrais peut-être lui proposer en faite. Bref, je lui ai trouvé sa vocation c'est bien mais ce qui est encore mieux c'est ses répliques à deux balles. Et surtout ses répliques à deux balles sur mes cheveux. Il me compara littéralement à une vache et pour rien que ça, je pouffa de rire. Nan mais oh il se prends pour qui celui là avec sa banane sur la tête j’envoyai un coup de poing sur son épaule, assez fort pour qu'il sente un petit pincement. On ne se moque pas de moi comme ça. Et c'est clair que là j'allais pas me laisser faire. « Impossible, j'utilise l'Oréal mon coeur, mes cheveux sont parfait! » Et en même temps je fis allé mes cheveux comme dans la pub. Je ne voulais pas me retrouver à poil alors je fis très attention à tout ce que je disais. Et lorsque Nólhan du enlever un de ses vêtements cela me fit tressaillir. Mais évidemment, j'aurais du m'en douter il n'allait pas enlever ses vêtements aussi facilement. Le beau blond est du genre joueur et je ne pourrais pas gagner si facilement. Malheureusement oui j'avais espéré qu'il l'enlève mais ce ne fut pas le cas. Je cacha vite fait mon enthousiaste histoire qu'il ne triomphe pas si facilement. Et le pire dans tout ça c'est que quand il parla des gages et tout j'avais même pas mon mot à dire. Façon, je savais que j'allais gagner alors bah, je n'avais pas à avoir peur. Je leva ma tête en signe de supériorité, le regard dans les yeux. « Même pas peur de toi minus! Ouais, je suis la meilleure. » À peine eus-je finie ma phrase que je me rendis compte que j'avais dit le mot interdit. Merde, est-ce que ouais ça compte ou pas? Bon je vais pas faire ma mauvaise joueuse hein. Je me leva, et fis mine de retirer ma robe. Je m'approcha de nono pour qu'il enlève celle-ci, car les boutons se trouvaient derrière. Mais à peine avait-il enlevé un bouton, je me retira. « Ah! Ah! T'y as cru hein? J'vole pas plus haut que toi, ma chaussure voili-voilou. » On aurait dit celui dans les simpsons là nelson qui rigole toujours comme un abruti, mais rien à foutre, je m'étais jouée de lui à mon tour. J'otai ma chaussure, amusée par la situation. Et puis lorsque j'ajoutais qu'en fin de soirée je remercierai bien son engin il n'omis -d'encore- sortir une vanne des plus pourries. Il donnait donc un petit nom à son engin, pas mal et très intéressant. Cela me fit rire et buvant une gorgée, je trinqua à Jacky. « Ok bah je crierai Jacky quand on fera l'amour alors mon chéri. Mais pour les chèvres et tout le reste, faudra que tu t'améliores encore un peu. » Je donna une petite tape à son épaule, histoire de l'encourager. Évidemment j'exagérais. Nono est un très bon goût et je lui ai déjà fait remarqué pas mal de fois. Mais passons, lorsqu'il enleva finalement sa chaussure oui je fus déçue mais le jeu n'en était que plus amusant. Je fis une petite moue déçue car je m'attendais à plus. Finalement j'avais bien envie de jouer la petite malheureuse. Je me posa à coté sur le canapé et croisa les bras comme une de ces petites filles capricieuses. Je fis une moue presque triste pour qu'il y croit et rétorqua; « t'es méchant, j'avais envie de faire connaissance avec jacky moi! » essayant de ne pas rire, je détourna mon regard de celui de Nólhan pour garder mon sérieux.

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Nólhan et son corps parfait. Il me faisait déjà saliver rien qu'avec ses vêtements alors j'imagine pas si je faisais la connaissance de jacky là. Enfin on ne peut pas dire que ce sera la première fois que je le rencontre mais j'avais une grande envie de le rencontrer à nouveau ce soir même. Jacky a l'habitude de me satisfaire plus que pleinement et j'espérais que ce soir il était autant au top que mon jacky à moi même si on ne peut pas dire qu'ils se ressemblent bon trêve de plaisanterie, je ne suis pas un homme comme ça c'est dit. Et tout le monde est rassuré surtout. Et puis faudrait une jackie pour faire connaissance avec jacky et ça je peux le faire. Je me fis rire moi-même. Je fis quand même mine de me retenir histoire que Nono n'eut pas de quoi se foutre de moi une seconde fois. Encore une fois, le beau blond ne se fit pas prié et se foutu de moi sans tarder. Cela me fit rire quand même. De la graisse à frite, de mieux en mieux. « ouais ok, j'avoue. J'adore les frites, d'ailleurs j'ai pris six kilos, et avec le reste de la graisse de mes frites je me lave les cheveux. Mais ça reste entre nous hein. » Je garda mon sérieux pour qu'il croit à mon histoire. Je savais très bien qu'il n'était pas naïf à ce point, mais bon sait-on jamais que l'alcool ait des répercussions sur lui. D'ailleurs en parlant d'alcool mon verre était vide. Je pris la bouteille, rempli mon verre et celui du beau nono. La bouteille était déjà malheureusement vide. J'en pris une nouvelle et pris un truc dans mon sac. Ce truc était bien entendu de l'héro. Je mis de l'héro dans une seringue et me piqua avec. C'est pas l'habitude qui me manque et nono m'a déjà vu faire de toute façon. C'est pour pimenter notre soirée et c'est pas lui qui va me contredire. Ce n'est que quelques secondes plus tard que je remarqua que j'avais dis ouais. Pour pimenter notre soirée, je défis ma robe, me retrouvant en sous-vêtements. Je suis sûre que comme ça il ne tiendrait pas bien longtemps. Bref, après m'être resservie à boire je bu mon verre d'une traite et me reposa sur les cuisses de Nólhan. Aucun don? Il me fit exploser de rire, ça c'était la meilleure. « Moi nulle? tu n'imagine même pas tout ce que je peux faire au lit pour faire jouir un homme mon cœur. » Ouais bah autant utiliser une voix sensuelle en même temps, et c'est ce que je fis. Une pointe de sous entendu je posa un baiser dans son coup et revint tout doucement à la réalité. Le fixant pendant quelques secondes pour le déstabiliser. Je ne releva même pas la remarque qu'il fit ensuite quant à ma frigidité. Je souriais. Amusée par la situation et surtout amusée par ce que j'allais faire. Tout pour le faire craquer, était mon but et s'il fallait user de mes charmes je le ferais sans problèmes. Et puis lorsqu'il rajouta que demain je demanderais un autographe à jacky je pouffai de rire. Genre, comment il se la pète celui-là. « C'est plutôt toi qui me demandera un autographe tellement je suis bonne. » Nono avait vraiment l'air d'avoir envie de jouer, et j'étais faites pour ça. Il ne voulait pas faire sortir jacky, pas de soucis, jacky allait sortir tout seul. Je décida de mettre le paquet pour qu'il finisse par craquer. J’ôtai mon soutient-gorge d'un revers de main sans qu'il ne voit rien arriver. Je me rapprocha de lui, me mis à nouveau à quelques centimètres de lui. Passa doucement ma main dans ses cheveux. J'étais trop bonne à ce jeu et il allait sans problème lâcher prise. A moins qu'il ne sorte l'artillerie, c'est lui qui craquerait et pas moi. Un sourire très coquin aux lèvres, je répondis; « T'es sûr qu'il veut pas sortir le jack? » je posa doucement ma main entre ses cuisses et mordis ma lèvre inférieur, le fixant dans les yeux.

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Toujours là pour faire chier son monde, nono ne changerait donc jamais. Avec son ego surdimensionné et son orgueil trois fois comme le mieux, il remportait toutes les palmes d'or. Pire que moi, c'est sûr bien que je sois pas mal dans le genre aussi. Bref, cette soirée risquait d'être très prometteuse mais surtout pour moi et mes beaux yeux. J'avais bien envie de faire craquer le beau blond, et quand je veux quelque chose, et bien je l'obtiens presque à chaque fois. Mais avec Nólhan la tâche serait plus rude étant donné qu'il est aussi têtu qu'une mule, voir pire. Toujours dans l'excès, c'est sans doute ça que j'aime tant chez lui. Oui il me plaît, à tel point que je serais prête à tout pour lui. Tout sur le plan physique pas sentimentalement parlant bien sûr. Quand Nono blagua sur mes cheveux, évidemment j’enchaînai. Je ne pouvais raté ça. Et puis je n'allais pas me laisser faire. Non pas mon genre moi je préfère être direct et franche, le jeu n'en est que bien meilleur. « Ah bon comment ça? On fait du sport de chambre? Du vélo bien sûr j'entends. » Je n'étais pas sérieuse, le vélo pas pour moi. Pas pour moi du tout même. Je préfère la course, et les sports un peu plus extrêmes. Mais bon ça, c'est pas le sujet à l'heure qu'il est. Je souriais à Nólhan, un sourire enjôleur comme jamais. Par la suite, le jeune homme pris la bouteille que j’emmenai dans le salon et nous servis deux verres. Verre que je ne tarda pas à vider. Il fit de même, on est pas du genre à faire attendre notre verre, on l'aime trop pour ça. Juste après avoir avalé une gorgée beaucoup trop grande pour ma gorge, je pris une seringue et m'en servis pour prendre ma dose. Bah oui l'héro c'est par là et pas autrement. Et puis j'aime pas les autres drogues douces, moi faut que ça soit bon et hard. Nono fit son petit saint-nitouche après que je me sois remplumée. Je rigolais. Genre comme s'il n'avait jamais fait ça. Et puis c'est pas la première fois qu'il me voyait faire. Ok là j'avais pas été doucement, j'avais l'habitude mais bon. « Bah quoi j'ai pris qu'une petite dose pour se mettre bien. Va pas me dire que t'as peur des aiguilles mon loulou? » lui répondis-je après avoir jeté la seringue à la poubelle. Je pris ses deux joues entre mes mains et les étira un petit peu. Comme pour répondre à un petit garçon. Je pouffa de rire. L'alcool commençait doucement à faire effet et qu'est-ce que c'était bon. Après avoir bien rigolé, je passa aux choses sérieuses. J’ôtai ma robe et me retrouva en soutient-gorge. Ce ne fut que de courte durée car le nono n'allait pas lâcher le morceau comme ça. Finalement je me retrouva presque totalement nue. Ma culotte me servait essentiellement de vêtements. Je sais que Nólhan ne résiste pas à un corps de fille et encore moins au mien. Je n'avais pas envie de lâcher et je n'étais pas prête à baisser les bras. Quelques secondes plus tard, Nono me faisait part de ses craintes quant à mon talent au lit. Moi ne pas le faire jouir? C'est une blague? Je rigola. « T'inquiète pas pour ça. Tu devras me supplier pour arrêter à la fin tellement tu seras cassé. » Un air hautain et sur de moi à la fois, je souriais. Toujours aussi sur de lui, le beau blond essayait en vin de me faire croire que j'étais repoussante. Mais je voyais bien à son regard qu'il en pensait totalement autrement. Cela m'amusait car oui, je tenais les reines et j'aimais ça. Mais ce fut de courte durée, après avoir posé ma main sur son entre-jambe, nono me repoussa doucement et prononça le mot interdit. Mot qui lui fit retirer un de ces vêtements. Je n'imaginais pas qu'il irait si vite. Il était si en manque que ça ? Je me joua de lui et répondis à sa question précédente. « Oui je sais écrire. Oh oups j'ai dit le mot interdit. » je l'avais bien entendu fait exprès, histoire de me retrouver complètement nue devant ses beaux yeux. J'ôtai mon dessous et alla m'asseoir sur le canapé. Un coussin me servait de protection "anti voyeurisme". Je rigolais de lui mais je me sentais moins maligne maintenant que j'étais nue comme un vers. « Moi craquer ? C'est mal me connaître. Maintenant on passe aux choses sérieuses ou tu fais encore ton petit frustré? » dis-je en souriant. Je passa ma main dans mes cheveux et me rapprocha doucement de Nólhan. Je frôla ses lèvres et attendis patiemment. Oui la soirée risquait d'être sacrément bonne.

hj; excuse mon retard