I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD

crédits : tumblr.

Esteban Zola, Eastwood
FEAT. LUKE GRIMES

♦. comment s'intégrer ...

PRÉNOM : Esteban Zola. NOM DE FAMILLE : Eastwood. ÂGE : Vint cinq ans. MÉTIER : Photographe. GROUPE : Tutti fruitti. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. TRAITS DE CARACTERE : Volage, froid, hautain, éternel insatisfait, macho affirmé, insoumis, sociable, prend soin de ses amis, sensible, franc, minutieux, maniaque. AIME : L’honnêteté, la fraise, l'art, le sexe, le soleil brûlant sa peau en été, New York, le calme, l'ordre, la cigarette. AIME PAS : La fuite, la peur, les dessins animés, le vide, les espaces clos, le froid, le bordel, les insectes, la perte de quelqu'un ou quelque chose.

♦. y croire, c'est déjà presque réussir ...
Il a quitté NY, qu’il aime plus que tout pour fuir son beau-père et quelques ennuis • Il est orphelin de père, depuis ses 14 ans • A ses 18 ans, il a hérité de la fortune de son paternel et en profite allègrement • Il aime donner une note à chacune de ses conquêtes, ça fait macho et cliché mais il assume totalement • Il déteste son deuxième prénom parce qu’il trouve qu’avoir le nom de famille d’un grand écrivain ça fait prétentieux • Il n’est pas gâté non plus du côté de son nom. Non il n’est pas de la famille de Clint Eastwood, ou alors il l’ignore, de toute façon il s’en moque. • Il adore les sucreries et les glaces à la fraise • Il fume trop, sait que ça va le détruire mais quitte à mourir jeune … • Il déteste parler de son passé • Il est claustrophobe et a le vertige depuis qu’il est resté coincé dans de ces ascenseurs en verre d’où on peut voir le vide durant plus d’une heure, à 8 ans • Il a fait les beaux-arts, est très doué en dessin, sa spécialité est le portrait. • Il a aussi étudié la photographie, il reste adepte du portrait, même dans cette discipline, il aime capter l’instant, la faille dans un regard, dans l’affaissement d’une bouche ou le tomber de la nuque. • Il tient à travailler même s’il n’a pas besoin d’argent. Attention, il ne se tue pas à la tâche, il gagne sa vie avec ses dessins et ses photos, pour ce travail il utilise un pseudonyme, Z. Woodner • Il adore les films d’horreur • Il déteste qu’une fille lui demande de regarder un Walt Disney ou une niaiserie pour fille. Il a horreur de tous ses films et c’est une des raisons qui le poussent à ne pas se mettre en couple.

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♦. ça reste entre toi et moi ...

PSEUDO/PRÉNOM : CherryTree. RÉGION : Pays de Loire. COMMENTAIRE : Forum trop attirant, et puis le scénario, j'ai craqué, merci... ^^

♦. à chacun son histoire ...

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Lost and insecure, you find me …

« Je t’en offre un autre ? Assise à un bar devant un verre vide, il n’y a rien de plus triste ! » J’ai tout de suite été attiré par ce qu’elle dégageait, elle avait ramené ses cheveux sur une épaule et j’avais tout le loisir d’observer sa nuque penchée sur la droite lui donnant un air mélancolique. Elle m’a regardé, sans rien dire et ça m’a d’autant plus séduit. Alors j’ai tout fait, je lui ai sorti le grand jeu, ce soir-là je ne voulais pas rentrer seul. Ce ne devait être que le coup d’un soir, comme toutes les autres, mais lorsqu’elle est entrée dans l’appartement, je lui ai demandé si elle préférait dormir dans le lit ou sur le canapé. Elle a choisi le canapé et moi, toute la nuit, je n’ai pas fermé l’œil, me questionnant sur ce qui m’avait empêché de lui sauter dessus.
Le lendemain on s’est senti un peu cons tous les deux au réveil, ne sachant trop quoi se dire et puis je lui ai proposé un café et on a commencé à discuter, de tout, de rien. Elle semblait fragile et forte à la fois, elle avait cet air hautain et une sensibilité à fleur de peau.
Elle est resté une nuit de plus, et quelques autres encore, je ne ramenais plus de filles, mais n’osais pas la toucher elle, pourtant que j’en mourrais d’envie. Elle m’a raconté un peu de sa vie, j’en ai deviné une grande partie, sans rien lui dire. On s’est souvent engueulé, parce qu’elle ne refesait jamais son lit le matin, parce qu’elle laissait le tube de dentifrice ouvert, parce que je la prenais en photo au moment où elle s’y attendait le moins, mais c’est là qu’elle était la plus belle, quand elle fronçait le nez lorsqu’un rayon de soleil lui traversait le visage ou qu’elle avait les yeux dans le vide, perdu dans les méandres de ses pensées, bref on se prenait la tête pour des tas de raisons bêtes, mais ça finissait souvent en éclat de rire.
Et puis un jour elle est partie. Sans laisser de mot, sans rien dire. Je suis resté là, comme un con, à replier le lit qu’elle avait une dernière fois laissé en friche. J’ai ressenti un vide immense et le manque de cette fille que je connaissais à peine. Brièvement je lui en ai voulu, et puis je me suis rendu à l’évidence, elle n’avait jamais dit qu’elle resterait, et moi je ne lui ai pas donné de raison de rester. Quand bien même, l’aurais-je retenu ?

Et là vous vous dites « Ce mec est une guimauve, un pauvre idiot qui se prend pour Don Juan mais qui n’est qu’un éternel romantique qui n’a eu que ce qu’il mérite » Ouais, les apparences sont trompeuses, je n’ai jamais été comme ça, Esteban Eastwood ne tombe pas amoureux, il passe d’une fille à une autre et oui, il parle de lui à la troisième personne. Allez, pour vous le prouver je vous donne quelques bribes de mon histoire, pas toujours rose, drôle ni flatteuse, mais on a tous ses démons.

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Quand j'étais petit, j'étais un Jedi

Débuter mon histoire par mon enfance serait une chose stupide et ennuyeuse, elle fut tout ce qu’il y a de plus paisible et heureuse. J’étais un fils model avec des parents formidables, vivant dans les beaux quartiers New Yorkais, bla bla bla

Les choses ont commencé à virer mal quand mon père s’est fait la belle, enfin il n’a rien choisi, c’est plutôt le destin qui lui a joué un sale tour, rupture d’anévrisme, une nuit dans son sommeil. Alors j’ai commencé à cogiter et me dire qu’il fallait profiter de la vie à fond pour ne rien regretter si je devais mourir comme lui, à 44 ans. D’ailleurs c’est devenu une idée fixe, je vais mourir jeune, lorsque j’y pense, j’ai cette vision de mon père dans son lit et une boule au ventre qui me tiraille. En fait je n’ai pas attendu longtemps pour faire mon deuil et commencer les conneries, je ne travaillais plus en cours, je rentrais a pas d’heure, fumais tout ce que je trouvais, bref la crise d’ado classique bien qu’un peu violente, j’avais 14 ans.

Avec la maturité on pense que les ados grandissent, murissent et s’assagissent, foutaises.

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Now the drugs don't work. They just make you worse…

« Esteban Zola Eastwood, vous êtes aujourd’hui actionnaire majoritaire de l’entreprise Eastwood & Co, vous avez le plus fort pouvoir de décision, tâchez d’être digne de votre père, aussi visionnaire et ambitieux qu’il le fut». J’avais tout juste 18 ans et on venait de me confier les pleins pouvoirs, moi je pensais surtout à la fortune colossale qui me revenait. Mon père avait bâti un empire en créant des grattes ciel, Eastwood & Co était un des cabinets d’architecte les plus réputés de Manhattan. Moi j’avais le vertige et horreur de ces grandes tours où j’avais l’impression d’étouffer, alors sous les conseils de ma mère et de tout le conseil d’administration, je gardais une part minime dans l’entreprise mais qui me rapporterait toujours de l’argent et je partageais le reste entre tous les actionnaires. L’affaire fut vite réglée.

« Allez, je t’emmène diner dans ton restaurant favori mon chéri ! Tu veux diner ? J’ai réservé, pour trois… il faut que je te présente quelqu’un … fais en sorte de ne pas tout gâcher, je l’aime bien … » Ma mère était une femme douce et forte à la fois, mais lorsqu’elle a prononcé ces paroles, demandé cette faveux, elle avait la voix nerveuse d’une petite fille ayant fait une bêtise. Je suis allé diner, j’ai pris l’allure du jeune homme model, mais quand j’ai vu l’homme que j’avais en face de moi, je n’ai pas pu retenir ma colère. « Espèce d’enfoiré ! Tu te tape ma mère ? De quel droit tu la touche, t’as pensé à papa ? J… Je peux … Je peux pas, vous n’aviez pas le droit … j’me casse d’ici »
Et j’ai couru comme jamais je ne l’avais fait, la boule au ventre était revenue, je revoyais mon père, j’avais encore plus mal qu’à sa mort, je me suis arrêté au premier bar que je trouvais. Demandé un double whisky sec que j’ai avalé d’une traite avant d’en redemander un autre, puis un troisième,... Cet homme que ma mère voulait me présenter c’était Bob, le meilleur ami de mon père, celui qui a joué le mec sympa, présent, père de substitution quand papa est parti. Ils avaient tous les deux trahi sa mémoire, et ils baisaient dans son lit ? Rien que l’idée me donna un haut le cœur. Je n’ai pas pu rentrer à la maison ce soir-là, la douleur et l’alcool m’ont cloué sur place, j’ai juste réussi à me bouger pour me laisser choir sur un coin d’herbe plus loin d’où je me suis réveillé le lendemain.

L’épisode dans ce bar fut le premier d’une longue liste, en vérité, les conneries, les fugues, le shit, tout ça n’était rien face au démon qui me possédait à cette époque. Je sortais, en boite, dans des bars puants, dans les pires endroits de New York, je chopais des filles, les sautait dans des allées sombres et ne les rappelait jamais, j’ai testé toutes les substances illicites connues, et les autres aussi, je me battais sans raisons, des fois je me sentais fort alors je cognais jusqu’au KO, d’autres je me trouvais minable et me laissais frapper, comme pour me punir. Cette sombre époque a duré 5 ans et s’est achevée avec une histoire bête, dont je ne suis pas fier.

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This is where the story end, or have we just begun …

« Connard de merde, comment t’as pu faire ça ? J’vais te refaire le portrait ! » Ca c’est Max, mon meilleur ami, enfin mon ex meilleur ami, il venait de me jeter de mon lit et était prêt à jouer des points, moi j’ignorais totalement de quoi il parlait. Puis lorsque le premier coup arriva sur mon nez la mémoire revint instantanément, un bar enfumé, une fille qui s’assoit près de moi, en larmes, je lui offre un verre, puis quelques autre, on rit, je commence à la caresser, je fini par la ramener chez moi, chose que je ne fais jamais.
Cette fille c’était Maya, la copine de Max, elle était venu me voir pour que je le raisonne, ils avaient encore eu une dispute. Mais elle était tellement attirante avec son décolleté, à croire qu’elle savait pertinemment comment la soirée allait se terminer. Et après tout, je ne l’ai pas forcée, il faut être deux pour ce genre de choses, je suis peut-être un connard, mais pas un violeur ! Après cet ultime épisode, après avoir perdu le dernier ami qui me restait, j’ai décidé de quitter NY.

Et nous revoici au commencement de mon récit, à San Madena, lorsque j’ai rencontré Blue-Berry ça faisait à peine un an que j’avais déménagé. J’étais photographe pour le journal local, j’avais trouvé un petit loft sympa avec vue sur la mer. Je ne dis pas que je me suis totalement assagit, j’ai trouvé un bon fournisseur de came pas trop loin et pour ce qui est des filles, c’est bizarre, mais l’appareil photo les attire toujours, elles jouent avec l’objectif, je leur dis qu’elles sont faites pour ça, qu’elles sont magnifiques et je joue avec elles par la suite, c’est tellement simple.
D’ailleurs depuis le départ de Blue, j’ai repris mon train de vie passé, j’enchaine les coups d’un soir, je suis encore plus alcoolique et égoïste qu’avant. Son passage dans ma vie a laissé une trace invisible mais trop présente. A chaque fille que je rencontre je cherche son visage, ses yeux magnifiques, mais aucune n’est Elle. Alors je les jette, violement, me détestant de penser encore à elle. Je ne suis pas un homme qui tombe amoureux, moi les filles je les saute puis je passe à une autre...

Officiellement bienvenue alors I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 388342071

& Merci d'avoir pris mon scénario I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 3982057981

J'ai hâte de lire le reste de ta fiche I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 4020398583

Bienvenue

bienvenuuuuuuue

bienvenue

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Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. I love you

bienvenu parmi nous

Ah merci pour votre accueil les gens !! I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 642239856

j'attends l'avis de blue pour la validation

Je suis parfaitement d'accord ! I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 2579420686

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Merci

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BLUE VALIIIIIIIIDE I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 3183675940

TOI !!! Tu sais que je t'aime ??? I don't like the drugs but the drugs like me • EASTWOOD 3863477503

(a)

tu es donc validé
bon jeu parmi nous!

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