♦ gloubiboulga (over)

crédits : kimlennox.

preston rhodes
FEAT. JARED HAWT PADALECKI

. comment s'intégrer ...

PRÉNOM : preston, c'est le nom que ses parents ont décidé de lui attribuer. NOM DE FAMILLE : rhodes, hérité, contre toute attente, de son beau père. ÂGE : vingt-sept ans. MÉTIER : shérif de la ville. GROUPE : pièces montées. SITUATION AMOUREUSE : marié. TRAITS DE CARACTÈRE : protecteur ; fidèle ; ambitieux ; drôle ; romantique ; possessif ; impliqué ; entier ; travailleur ; franc ; loyal ; sociable ; digne de confiance ; maladroit parfois ; impulsif quand on le cherche trop ; rancunier. AIME : sa moitié, son boulot, le rugby, la nature, les bateaux, les chiens, la stabilité. AIME PAS : les chats, le riz, la musique classique, les trouble-fait, l'incertitude, être dépassé.

. y croire, c'est déjà presque réussir ...
il déteste mentir : non pas qu'il ne sache pas mentir, hein, mais il déteste ça et il est tellement expressif de visage que toute personne le connaissant sait dès qu'il ment, c'est une valeur que sa mère lui a toujours apprise, qu'il a toujours respectée avec soin. quand il a menti, c'était toujours pour protéger quelqu'un d'une atroce vérité - pour la bonne cause comme il aime se le dire - et il s'abstient de le faire dès qu'il peut ☆ l'envie de devenir shérif, il la doit à son père, son père biologique, mort dans un incendie alors qu'il exerçait son métier de pompier, l'aide aux autres est une valeur que la mère de preston a toujours tenu à lui donner ☆ il est gaucher, et il le vit très bien ☆ il est facilement atteint de vertige, il fait beaucoup pour essayer de vaincre cette peur incompréhensible pour le vide, ça doit venir d'un événement de l'enfance, dont il ne se souvient absolument pas en tout cas ☆ dès le lycée, et même avant, il a nourri une grande passion pour le rugby, il en a pratiqué dans une équipe de son école, puis a arrêté à la fin de ses études de lycée, mais ce sport lui a permis d'acquérir beaucoup de force, de dextérité et surtout d'esprit d'équipe, élément essentiel pour faire fonctionner son bureau ☆ c'est un grand bordélique, mais il aime dire que c'est un bordel ordonné, ce qu'il a : mieux vaut ne pas chercher quelque chose dans ses papiers, ce serait bien trop compliqué. la seule chose qui reste à sa place coûte que coûte, c'est son alliance ☆ il déteste les hôpitaux et ce, malgré les nombreuses visites qu'il y a déjà faites, sans doute parce qu'il y a connu bien trop de morts : loin d'être devenu insensible à cause du métier, il reste très concerné par les incidents qui peuvent survenir dans la vie de la communauté ☆ si c'est un homme assuré habituellement, quand le doute commence à s'immiscer en lui, il n'a que très peu de limites : suspicieux, à la limite de la paranoïa, il doute de beaucoup de choses, même des valeurs fondamentales de son existence ☆ il avait un chien plus jeune, celui-ci est mort il y a trois ans désormais, preston n'a pas encore eu l'envie d'en reprendre un, même si cette présence toujours à ses côtés lui manque souvent : il n'a pas particulièrement su affronter le vide que la mort de son chien lui a laissé ☆ c'est un mauvais perdant, aux jeux de société s'entend, il n'aime pas perdre... ça déteint souvent dans sa vie, il est très entier et impliqué dans ses relations aux autres, si bien que toute trahison devient très vite une affaire d'état pour lui, poussant sa rancoeur à l'extrême ☆ sa mère avait l'habitude de toujours trop faire cuir le riz, si bien qu'il était toujours gluant et collant, ce que preston a toujours détesté ; c'est pour ça qu'il n'aime pas le riz à l'heure actuelle ☆ il déteste être malade, mais ça doit être le cas de tout le monde : une chance pour lui, il n'est malade que très rarement, ça doit venir de sa carrure imposante, les microbes et autres virus ont eux-mêmes peur de lui ☆ il est très sportif, il coure tous les week end, n'ayant pas le temps le reste de la semaine, mais dès qu'il peut sortir, s'occuper, bouger, il le fait ☆ le fait que betty n'arrive pas à tomber enceinte remet beaucoup de choses en perspective pour lui, non pas leur couple, mais peut-être sa capacité à pouvoir être un bon parent, c'est un doute qui commence à entrer en lui, et lui bouffe souvent les pensées.

. ça reste entre toi et moi ...

PSEUDO/PRÉNOM : MARY-W. ÂGE : dix-neuf ans. RÉGION : pas très loin de chez toi . COMMENTAIRE : yeeeèèèèaaah bestààààaaàààh kikoolol.

♦. à chacun son histoire ...

1990 - san madena

C’était un bruit incessant, fracassant et délicat à la fois. Il semblait briser l’éternité qui se jouait dans l’espace restreint de la petite chambre. Il n’était pas aveugle, encore moins stupide, malgré le jeune âge qui le clouait dans l’ignorance. Les yeux rougis de sa mère, l’expression fade sur son visage, tout indiquait qu’une part d’elle était morte depuis la veille ; cette lueur rieuse au fond des yeux. La femme chez elle avait disparu, elle n’était plus que la mère de famille qui se devait de tenir bon. L’enfant n’osait pas dire à un mot, livrant à son regard des éléments du décor plus que le visage de sa mère. Il n’avait rien de réconfortant, mais aujourd’hui pourtant, c’était bien de la chaleur de bras aimants qu’il avait besoin. De ses doigts fins, elle s’appliquait avec ardeur, à réaliser le plus précis des nœuds de cravate qui soient. Ces tailles pour enfant, ils négligeaient probablement trop souvent l’esprit pratique de la chose et dans le rideau de larmes posé sur ses iris, elle ne parvenait même pas à distinguer ce qu’elle faisait. Cette pluie continuait de couler sur les carreaux, salvatrice et assassine à la fois, elle effaçait les dernières traces d’une existence disparue quelques jours plus tôt. L’enterrement avait pris tant de temps, et son souvenir sempiternel allait alimenter la vie de la famille pendant longtemps. A peine en eut-elle fini avec le nœud papillon de son fils, que le son indélicat de la sonnette retentit dans toute la maison. Cette habitation trop grande désormais, que ce jeune couple avait rénovée de fond en comble, à leur image. A l’image de leur couple. A l’image d’un nouveau souvenir qui la hanterait. Elle ne dit mot et ne bougea pas d’un pouce, s’appliquant à présent, à lier chacune des mèches de ses cheveux à son chignon. Elle avait toujours fait partie d’une bonne famille de la ville, et encore une fois, l’apparat allait avoir son importance. C’était tout ce qu’elle avait pour se raccrocher à la réalité de toute manière. C’est ainsi que Preston prit sur lui, sans l’accord de sa mère, il descendit les marches de l’escalier, ouvrant la porte sur la silhouette habillée de noir d’une des voisines. « Bonjour Preston… » Chaque mot franchissant ses lèvres hurlait la condoléance, mais elle était là, expression figée, mains crispées autour d’un plat cuisiné. C’était tellement commun, une vieille tradition. « Ta maman est là ? » A peine le temps au gamin de répondre que sa mère, plus protectrice que jamais, apparut par l’entrebâillement, passant une de ses mains sur l’épaule de son fils. Le perdre lui serait l’achèvement de l’horreur de son existence. « Nous n’avons besoin de rien, merci… » Une sorte d’avertissement, dit avec toute la politesse du monde, et pourtant ça ne semblait pas suffire. « Sandra, bonjour… je vous ai apporté une tarte… » « Vous pouvez la garder… » Symboliques du fardeau qui pesait sur ses épaules, ces mots étaient passés dans un souffle discret, une supplication à présent qu’elle adressait à sa voisine. Ne pas retourner le couteau dans la plaie. « Je suis désolée… » « Mais je m’en fiche ! Reprenez votre tarte et laissez ma famille tranquille ! » C’était tout ce dont elle avait besoin à présent, une tranquillité, dans les minutes de solitude qui lui restaient, avant qu’elle ne doive se montrer digne. Digne face à la tombe de son mari. Pour couronner ses paroles, elle claqua la porte au nez de la voisine, entraînant son fils avec elle.

2006 - san madena

« Alors quoi ? Elle est partie simplement comme ça ? » « Ouais, faut croire… » « Mais quelle salope… » « Arrête… » Peut-être n’avait-il pas tord en parlant ainsi. Preston soupira, las d’y penser. Pour anesthésier ses dernières réflexions, il porta son énième verre de whisky à ses lèvres, en avalant cul sec le contenu. Se bourrer la gueule, c’était la meilleure réponse possible qu’il avait trouvée à sa dernière rupture en date. Qui datait de quelques heures plus tôt dans la soirée. Visiblement, il y avait des filles dans le coin qui n’étaient pas prêtes à s’engager dans une vie de couple sérieuse à vingt-deux ans. Lui, il s’était cru prêt, et le retour en pleine tronche avait été pour ainsi dire, douloureux. Il ne savait pas ce qu’elle pouvait lui reprocher, à lui ou à la vie qu’ils menaient ensemble mais cette question tournait bien trop dans sa tête. Son collègue lui avait fait comprendre par maintes paroles de ne plus y penser, qu’Ashley n’était, si elle était partie, pas faite pour lui et qu’il trouverait forcément mieux ! Il faut dire qu’il ne voyait pas les choses comme ça : Ashley et lui c’était… depuis la fin du lycée, le bal de promo et toutes ces étapes de la vie. Pas compliqué dans une ville comme San Madena… mais toute une étape de sa vie qui s’évanouissait avec elle. Elle avait dit qu’elle avait envie de voir du pays, de faire carrière avant de se lancer amoureusement, sans compter qu’elle n’était même pas sure de pouvoir s’engager sur le long terme. Ca voulait dire quoi ça ? Comme si trois ans de relation n’avaient pas existé. Peut-être qu’elle n’avait pas tord, hein. Peut-être que Preston aussi, devrait aller faire un tour vers d’autres horizons que ceux qu’il avait toujours connus, depuis sa plus tendre enfance. Mais pourtant, c’était dans cette ville, aussi insignifiante soit-elle, qu’il avait envie de construire sa vie et voir ses enfants grandir, si tant est qu’il soit capable d’en avoir un jour. Le destin semblait se jouer de lui, de ce côté-là. Ashley, c’était comme la première grande histoire d’amour qu’il avait connue. Certes, il y avait eu quelques petites histoires avant, mais rien pour arriver à la hauteur d’eux deux. Rien. Et elle laissait un vide trop grand chez lui, tandis qu’elle, elle ne semblait pas éprouver le moindre remord à agir comme elle le faisait. Soit. Il allait bien falloir qu’il trace sa vie de son côté ; sa mère l’avait bien fait à la mort de son père. Et ça ne lui avait pas valu que des coups durs, puisque quatre ans après la mort de son père, Preston avait pu connaître la joie d’une famille à nouveau complète, avec l’arrivée de son beau père à la maison. Qui sait, peut-être qu’il pourrait trouver chaussure à son pied. Peut-être qu’il devrait arrêter de chercher à planifier toute sa vie, à vingt-deux ans seulement.

2007 - san madena

« Betty… Hey, c’est moi. Preston. Enfin, l’agent Rhodes. Vous savez… Je, j’voulais prendre de vos nouvelles. Par rapport à hier soir. Et puis… n’hésitez pas en cas de problème, vous avez mon numéro. Voilà… » Lèvres pincées, expression contrite, c’était bien l’une des rares fois où il se retrouvait incapable de trouver spontanément ses mots. La veille au soir, il était tombé sur elle, cette blonde qui s’était mise dans de sacrés problèmes. Heureusement qu’il avait été là à vrai dire… quand bien même, depuis la veille, il n’arrêtait pas de penser à elle. Savoir comment elle allait, si elle s’était remise de sa mésaventure, si elle avait encore besoin de son aide ou même… ce qu’elle faisait. Il soupira, après avoir raccroché, ignorant le regard moqueur de son collègue, celui-là même qui était juste à côté de lui, et qui attendait ouvertement des explications. « Laisse tomber… » Se contenta-t-il de dire pour mettre fin à un débat qui n’était même pas né encore. Mais il le connaissait assez bien, ce collègue, pour savoir qu’il allait enchaîner d’ici peu, poser des tonnes de questions et qui sait, faire des plans pas possibles. Après tout, ce n’était qu’une fille qu’il avait rencontrée par hasard en faisant son boulot, c’était probablement la fierté d’avoir pu aider quelqu’un qui le poussait à penser si souvent à elle. Quand bien même les paroles des autres, il était bien trop entêté pour reconnaître une potentielle vérité. Le ricanement de son collègue l’amena à lever les yeux au ciel. « Franchement Preston… c’était presque mignon comme tout. J’suis sûr qu’elle aura un petit sourire attendri en écoutant ton message. Elle t’a tapé dans l’œil ? Blonde ? Brune ? Rousse ? » « Arrête un peu… c’est une fille comme ça, j’fais que mon boulot ! » Bien entendu à cette époque là, il n’avait aucunement l’intention de se lancer dans une relation qui allait être vouée à l’échec, comme celle qu’il avait connue avec Ashley. Ce qu’il ne savait pas encore, c’est que les choses s’enchaîneraient d’elles-mêmes avec Betty… naturellement, comme si c’était l’ordre normal des choses. C’est spontanément, sans se poser de questions que le professionnel est devenu du privé, que l’amitié a été dépassée par l’amour, et que de couple ils sont passés à fiancés. Leur mariage, ce n’était il y a que quelques mois, mais il semblerait presque que l’éternité les lie.

JAREEED, je te souhaite la bienvenue, mais il faut savoir que le lien est obligatoire ♦ gloubiboulga (over) 1662243607

Invité Invité

Toi, tu me casses mon coup avec ta femme

SOPHIAAAAAAAA, mais avec plaisir pour le lien ♦ gloubiboulga (over) 3203236809

tu n'auras pas besoin de m'attacher au lit ce sera volontiers nyhinhin merci merci ♦ gloubiboulga (over) 1685985038

ZADIG ; ♦ gloubiboulga (over) 13909970

tu parlerais pas de coup avec ma femme si tu voyais la conversation msn qu'on a : Ian ne fait pas partie de son harem ♦ gloubiboulga (over) 3265981769

hmhm mais bon, si tu veuuuux ♦ gloubiboulga (over) 3203236809

Invité Invité

On se moque pas *boude* C'est méchant De toute façon, je suis un homme marié et heureux, pas comme toi

Mais moi j'aime attacher des hommes au lit ♦ gloubiboulga (over) 1822059364

Invité Invité

Tammie Fairchild a écrit:: Mais moi j'aime attacher des hommes au lit

Aucun rapport

ZADIG ; ♦ gloubiboulga (over) 3203236809

moi me moquer ? t'en fais pas, je suis très heureuuux, on adoptera un p'tit chinois s'il le faut nyhinhin

TAMMIE ; héhé, ça se voit ♦ gloubiboulga (over) 3265981769

MDRRRR, jviens de voir ça alors que je m’apprêter à bouffer mes nems xD
En effet non jsuis pas amoureuse de Ian et encore moins de Paul, je trouve Nina moche et je ne regarde pas TVD, je fais partie d'une minorité et j'assume xD
Cela dit, Ian est pas mal mais mon esprit de contradiction m'empêche de le groupiser xD

Bienvenue amouuuuuuuuuuur ♦ gloubiboulga (over) 3863477503

Je t'aime

Invité Invité

Un petit chinois ? Je suis pas du tout jaloux, tiens

HAHA ! C'est bizarre quand c'est moi c'est pas le même son de cloche Suspect

j'vais prendre Ian partout pour te forcer alors *baf*

Enfin bref, de toute manière on est mariés, tu me trompes je te laisse avec tes ovules avariés et j'vais voir Tammie ♦ gloubiboulga (over) 13909970

Mais je t'aime aussi, bien entendu ♦ gloubiboulga (over) 3183675940

ZADIG ; t'es déjà jaloux de la femme que j'ai, j'espère que tu seras pas jaloux de mon chinois sinon on est mal barrés ♦ gloubiboulga (over) 13909970

(et MOI j'aime Ian ♦ gloubiboulga (over) 3203236809

)

Invité Invité

Je ne suis pas jaloux de ta femme, j'ai une déesse à la maison Tu as raison de l'aimer, c'est le plus beau ou pas

Ouais, qui est... pas là pour le moment ♦ gloubiboulga (over) 3632373061

Oui non, ou pas, faut pas pousser ♦ gloubiboulga (over) 13909970

Invité Invité

Elle devrait bientôt arriver, alors shut up
Non, j'ai un autre homme dans ma vie qui est français pour une fois, amazing! Mais, Ian est pas mal dans son genre ... Le débat est éternel, alors stop

Preston Rhodes a écrit:: HAHA ! C'est bizarre quand c'est moi c'est pas le même son de cloche j'vais prendre Ian partout pour te forcer alors *baf*

Enfin bref, de toute manière on est mariés, tu me trompes je te laisse avec tes ovules avariés et j'vais voir Tammie
Mais je t'aime aussi, bien entendu

MDR, désolée, l'autre fois ça m'a surpris de voir Ian à la place de Jaja xD
J'étais sous le choc xD Enfin c'est toujours mieux que Nina xD

Je ne te tromperais pas, et soit mignon avec mes ovules sinon, tu va les vexer xD
Je t'aime à ma folie ♦ gloubiboulga (over) 3863477503

ZADIG ; je l'attends, je l'attends ♦ gloubiboulga (over) 13909970

BETTY ; ♦ gloubiboulga (over) 3632373061

Invité Invité

Figure toi que moi aussi

Comme quoi

bienvenuuuuuuuuuue !!

Merci à toi ♦ gloubiboulga (over) 388342071

Très bon choix de scénario I love you

Bienvenue ici ♦ gloubiboulga (over) 388342071

Merci, merci ♦ gloubiboulga (over) 388342071

LEIGHTON

jared et ton pseudo bienvenue

JARED

Bienvenue

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