R. Tcheky Mikelson
MESSAGES : 87
INSCRIPTION : 21/02/2012
PSEUDO : aucun
AVATAR : james franco
ÂGE DU PERSO : vingt-cinq ans
 |  Sujet: tcheky • baby, it's cold outside  Mar 21 Fév - 22:25 | |
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crédits : cyrine.
Roméo Tcheky Mikelson
FEAT. JAMES FRANCO
 . comment s'intégrer ...
PRÉNOM : Roméo Tcheky NOM DE FAMILLE : Mikelson ÂGE : vingt-cinq annéesMÉTIER : patron du Tchiky bar GROUPE : tutti frutti SITUATION AMOUREUSE : célibataire TRAITS DE CARACTERE : souriant chiant dragueur maladroit borné attentif réfléchi casse-cou emmerdeur curieux censé droit lunatique impatient AIME : les fraises tagada mettre la musique au volume maximum et faire gueuler ses voisins dire des mots comme pouet, prout ou patate danser sur un peu de tout être impulsif fumer une cigarette son indépendance la glace à la banane AIME PAS : qu'on lui fasse remarqué qu'il a un prénom bizarre les ivrognes les clichés les coupures internet les embouteillages le bébé des voisins qu'on entend pleurer à travers le mur la nuit
. y croire, c'est déjà presque réussir ...
Est obligé de fumer au moins une cigarette par jour et par nuit Aime s'empiffrer de bonbons à longueur de journées, il ne ferait que ça si il pouvait Est rester un grand gamin Peut néanmoins se montrer froid et distant lorsque l'envie l'en prend Est allergique à la cacahuète mais s'en contrefiche et ne divorcera jamais avec le nutella Tiens un bar dans le centre de la ville, sur la baldwin street dont il est très fier Il ne touche pourtant que très peu à l'alcool A besoin de contrôler les évènements, si il ne peux pas, il perd vite son calme Rigole souvent, sourit tout le temps, mais aime aussi faire la gueule, surtout le mardi Il ne s’énerve jamais, ou alors quand ça arrive, c'est chez lui et sur des objets, d'ailleurs les voisins n'aiment pas car ça réveille leur bébé En a plus que marre de ses voisins et leur foutu gosse qui chiale toutes les nuits Échafaude des plans machiavélique afin de réveiller le bébé la journée pour qu'il fasse ses nuits A vraiment du mal avec les enfants A néanmoins une petite sœur qu'il bichonne lorsqu'il la voit Adore cuisiner tout type de plats, lorsqu'il est frustré il la passe dans cet art Ne supporte ni le gout du lait, ni celui du café et non plus du thé, pourtant il a essayé.. du coup il se rabat sur les jus de fruit Est vraiment très curieux et assez observateur Peut être une vraie tête de mule quand il veut, même quand il sait qu'il a tord Peut se montrer assez fier tout en sachant reconnaitre la valeur des autres A un chaton qui s’appelle Poubelle et qui a une oreille cassée Adore son indépendance et faire le "male" dans son appartement Aime séduire sans être un gros lourd qui cherche directement à forniquer N'a pas une grand haute estime pour sa famille et compte en fonder une à lui (lorsque le temps sera arriver) totalement différente de ce qu'il a eu Il est fou de cinéma et a une grande culture cinématographique mais n'en parle jamais N'entend plus d'une oreille suite à un accident lorsqu'il était petit, parfois il perd l'équilibre Est très maladroit, il lui arrive toujours de faire des gaffes Se passe souvent la main dans les cheveux lorsqu'il séduit et se mords toujours les lèvres lorsqu'il est concentré Maîtrise la technique de tous les cocktails qu'on lui demande A une passion pour la saveur de la banane, surtout en glace A déjà fugué une fois pour essayer Arrive peu à avoir des gestes tendres, il n'en a pas été habitué, néanmoins la personne qui en aura sera importante pour lui.
. à chacun son histoire ...
 
Uhm, mon histoire n'est pas si exceptionnelle que ça. Mes parents se sont rencontrés dans un café. Ma mère en était la serveuse, mon père le client, le regard a accroché, mon père l'a dragué et quelques jours plus tard ils s’autoproclamaient en couple et,la blague, heureux et amoureux. Connaissant la suite, je vous assure que cet accord implicite entre eux deux n'était juste que le bon moyen de construire une vie de famille enfin, pour faire comme tout le monde. En effet, ils avaient la trentaine passée et enchainaient les aventures sans lendemain sans la moindre once de remords. Ils ne croyaient ni l'un, ni l'autre, en l'amour et peut être qu'au fond, ils se ressemblaient assez pour être fait l'un pour l'autre. A vrai dire, je n'ai pas une très haute estime pour mes parents, je devrais ? Je ne sais pas, je considère qu'ils n'ont pas fait leur boulot, que si ils voulaient pas s'occuper d'un enfant et lui donner ce dont il a besoin pour se construire, ils avaient qu'à s'abstenir de me créer. Mais en réalité je tiens bien trop à ma vie pour aller les faire chier et les engueulés pour m'avoir créer.  J'ai toujours vécut ici et ça ne me dérange pas pour le moins du monde. J'aime ma ville, j'aime l'atmosphère et les gens de cette ville même si je ne peux pas encadrer certains. J'ai souvent voyager avec mon père et à vrai dire, j'en arrivais parfois a avoir le mal du pays et de ma ville lorsque celle que je visitais n'en était pas à la hauteur. Le futur de mes parents après ma naissance fut simple. Ma mère a recommencé à aller voir ailleurs, je les voyais défilés déjà du haut des trois pommes que je mesurais et lorsque mon père l'a apprit, il s'est dit qu'il en avait le droit lui aussi, au lieu de faire un procès, le divorce et tout ces bidules d'affaires que les couples en tromperies font. D'un certains côtés, ils ont pas voulu se prendre la tête puis je gardais mes deux parents. Même si ce n'était pas vraiment la peine à vrai dire car je passais la plupart de mon temps chez mon voisin qui lui avait une vraie famille aimante et harmonieuse. J'en arrivais à passer des soirs à dîner avec eux, à être considéré comme leur deuxième fils. Heureusement, j'étais le meilleur ami de ce jeune garçon et donc tout passait bien. C'est eux qui ont fait mon éducation quand on y réfléchi, c'est eux qui m'ont aidés lors de mes mauvais moments et c'est eux qui m'ont encouragés lorsqu'ils le fallait.
Il y a une petite anecdote qu'il faut que je vous raconte, petite mais importante. Un après-midi de printemps, quand la terre s'était enfin découvert de son manteau blanc de neige, nous profitions moi et mon meilleur ami des premiers beaux rayons de soleils en vélo. Assis pas très confortablement sur le guidon, c'est lui qui pédalait et nous faisaient avancés à travers le quartier. Nous voulions rejoindre notre champs, notre lieu de prédilection, là où on s'étaient imaginés plein d'aventures et ce lieu qui avait bercé notre imagination enfantine. Nous rigolions fortement, on était libre, on était heureux et on avait cette insouciance d'enfants. La pré-adolescence arrivait à grands pas et nous nous sentions prêt à la conquérir à deux, ensemble. Sans savoir que nous vivions nos derniers instants unis, il s'avança à travers la route. « Eh ! J'te paris que je traverserais assez vite la route avant que la voiture ne passe !» Je souriais alors à l'instant et répondais « Fais gaffe mec quand même ». Et hop, nous voilà partis, roulant avec le vent nous aidant et hop, la voiture s'approcha trop vite et le conducteur n'eut pas le temps de freiner à temps, mon meilleur ami eut le réflexe de freiner lui, mais c'était trop tard pour moi. En effet, par son brusque freinage, assis sur le guidon je volais alors là où il ne fallait pas et je me pris la voiture de plein fouet. Je suis encore vivant oui, sinon je ne vous raconterais pas cela aujourd'hui.. Ce moment, c'était pas comme dans les films, c'était aller vite, très vite et non pas au ralenti où le héros à même le temps de glisser une petite phrase d'adieu, non, ma tête avait violemment percuté la voiture, mon corps lui fut intact. A mon réveil, j'appris que j'eus droit à cinq semaines de coma, j'avais un mal de crâne horrible et on m'annonça que j'avais eu une espèce de commotion cérébrale qui m'a fit perdre quelques notions. Celle de la mémoire devint beaucoup plus chiante, j'oubliais tout les premiers mois.. Maintenant ça m'arrive d'oublier beaucoup plus de choses que d'autres personnes mais je me débrouille. Aussi, mon tympan droit décida de me bouder. Je perdu l'audition du côté droit à quatre-vingt pour cent, ce qui me laissait de quoi entendre la musique dans les boites de nuit, pas plus pour cette oreille. A cause de cela, des vertiges me prennent également de temps en temps. La grosse merde quoi. N'empêche, le plus con dans l'histoire c'est que mon pote là, une fois rentré, il décida de ne plus m'adresser la parole. M'enfin.. si, mais au bout de quelques mois, à force de le faire chier nuit et jour, mais juste pour me parler de façon haineuse. Sur le coup j'avais rien comprit. Je ne lui en voulais aucunement pour l'accident, bien qu'on m'a très souvent fait comprendre que j'aurais du être en colère contre lui et c'est lui qui me parlait plus. Logique ? Aucune.
Pourquoi vous raconter cela ? Déjà pour parler de mes minis handicap bien qu'ils ne me pourrissent pas la vie c'est bon, j'ai fait avec. Puis également car ce mec, il m'a suivit toute mon enfance et encore aujourd'hui. Tout comme moi, il aime cette ville et région et pour rien au monde, je présume, il ne partira. Ainsi, on a continué notre scolarité dans la même école, à chaque fois on se retrouvait dans la même classe à chaque niveau, dans la même équipe.. à croire que le destin s'acharnait. Moi, jm'en foutais à vrai dire. Lui ça avait l'air de pas vraiment lui plaire. Au départ on s'ignorait, tout le monde savait qu'on était cul et chemise ou Tom et Jerry avant, personne ne comprenait pourquoi on se parlait plus mais tout le monde se taisait. Peu à peu, avec l'arrogance de l'adolescence, quelques piques vinrent nous bousculer à chacun. Il venait me provoquer, j'en riais et continuais son jeu, et vice versa. On se connaissait quasiment par cœur, on savait les points faibles et forts de l'autre sans jamais aller trop loin car on gardait un certain respect. D'ailleurs, on parlait jamais de l'accident. Personnellement, j'aimais ça, ça me faisait rester encore proche de lui. Les mecs qui trainaient avec lui ne le connaissait pas, ils étaient le décors, tout comme ceux qui étaient avec moi. Le diplôme en poche, on partis dans des voies totalement différentes. Lui faisait des études et revenait aux vacances, moi je restais ici à travailler pour mon oncle qui gérait quelques établissements de la ville, j'avais pas envie de m'emmerder avec des études et faire l'intellectuel alors que je voulais être dans la vie active dès maintenant.
Laissez moi maintenant vous raconter une seconde anecdote. C'était deux ans plus tard à une fête chez un ami de l'époque. Il m'y avait invité et naturellement j'y étais aller, me dégourdir les jambes bien sûr. J'étais pas très sociable à l'époque, j'aimais bien mon monde de célibataire mais j'aimais également séduire parfois. Pas comme ces goujats qui n'ont qu'une idée en tête d’assouvir leur désir sexuel, non, je séduisais en gentleman, car j'aimais ça, séduire. Justement, j'avais repéré une jolie blonde au comptoir et je m'étais directement approché. A coup de sourires, regards charmeurs, politesses séductrices et de répartie - car la demoiselle ne se laissait pas facilement atteindre - j'en vins à finir bourrer avec elle et passer la soirée en sa compagnie. Aucunement dans cette soirée je m'ennuyais et par le coup de circonstances et d'attirances, il arriva ce qu'il devait arriver. Néanmoins, le lendemain nous nous quittions sans le moindre regret d'avoir gâché notre nuit. Nous nous étions aimé le temps d'une nuit, sans connaître la véritable identité de l'autre, cela nous convenait. Plus tard j'apprenais que j'avais été son premier et qu'elle en avait été heureuse, j'en fus content. Malgré cela, c'est quelques jours plus tard que les choses devinrent délicates. Non, la demoiselle n'était pas tombé enceinte. Non elle ne m'avait pas refilé une connerie d'infection. Mais oui, cette demoiselle était bel et bien la sœur de cet ancien meilleur ami. J'eus un beau coquard, coquard partagé évidemment, et notre relation ne fut que pire à partir de ce moment.
Après cela, je continuais à vivre ma vie, surtout du côté professionnel. En effet, mon oncle avec qui j'avais de bonnes relations décida de me léguer un de ses établissements au centre de la ville. Une ancienne bâtisse accueillant un bar miteux. Réel cadeau ou cadeau empoisonné ? J'en sais trop rien, mais après avoir passé deux mois complets à le retaper seul, j'en vins à le transformer en un lieu attirant et fréquenté. Je le menais avec droiture, pas d'entourloupes ici, il le fallait pour bien gérer un bar de toute façon. J'arrivais à ne pas me foutre les huissiers au fesses ainsi qu'à réussir à avoir l'accord des professionnels gérant la propreté et le vivable des lieux et mon affaire devins de plus en plus un succès. Le hic ? Ces mecs qui ont écrit le Tchiky Bar au lieu du Tcheky Bar en enseigne. Néanmoins ça en a fait rire certains et en a plut à d'autres donc j'ai gardé et au final c'était pas si mal.
J'ai bien évidemment des employés, passant du videur aux barmans et serveuses que je paie assez bien. Lors des candidatures, je fais attention à ce que les personnes que je prends soient vraiment digne de prendre le poste, qu'ils soient dans le besoin d'un job, et non un fils à papa qui doit apprendre la vie et veut donc venir travailler ici, non plus un voleur ou autre. Néanmoins j'ai confier ce rôle à une amie proche qui y travaille à être droite dans le tri des candidatures et ainsi je ne sus aucunement qu'une des serveuses de mon bar était cette même jeune fille, sœur de mon ancien meilleur ami. Enfin, si, mais que par de mauvaises circonstances encore une fois. En effet, il n'est pas rare que le soir en weekend surtout, des ivrognes trainent pas loin du bar une fois qu'ils aient été expulsés. généralement je demande à un videur de les éloignés pour ne pas qu'il y ait de problème mais un soir, alors que je finissais de bosser et que donc elle aussi, elle se fit agresser dans une rue pas loin. Heureusement, cette rue était sur mon chemin et bien qu'ils étaient deux, l'alcool les brouillant dans leur assiduité et précision, je vins à les séparés et les faire partir. Malheureusement, la jeune femme un peu dévêtue à cause d'eux et saignant à l'arcade tremblait contre le mur en respirant difficilement, assez choquée. Je ne la reconnus que lorsqu'on passait la porte de mon appartement non loin et que j’aperçus son tatouage dont j'avais eu connaissance lors de notre nuit. La soignant à l'arcade, j'essayais de la calmer et elle vint à s'endormir dans un de mes canapés. Bien sûr, comme tout film et scénario, moi le gentleman je la déplaçais dans mon lit pendant que j'utilisais le canapé. Le lendemain, j'apprenais qu'elle avait été virée de la maison familiale, sans sous et qu'elle avait été embauchée par chance dans mon bar et c'est ce qui la faisait vivre. Elle vivait chez une amie qui ne pouvait plus l'hébergée à présent et se retrouverait bientôt à la rue car son seul salaire ne lui laissait pas la possibilité de se payer un loyer si elle voulait vivre à côté. Devant la détresse de la jeune femme, je vins à lui proposer alors une colocation temporaire pour l'aider ce qu'elle accepta un peu gênée. Bien sûr ça me faisait chier, m'enfin c'était surtout sur le point que je pourrais plus faire le mâle en puissance et indépendant dans mon appartement, mais de la compagnie ne me ferait pas de mal et surtout elle était dans une telle détresse que je ne pouvais pas ne rien faire. Même si c'était sa sœur et que je risquais d'avoir des ennuis, il aurait comprit si il savait.
Pour être franc, au début ça a été rude pour moi, d'ailleurs elle m'a surprit lors d'un réveil alors que je traversais l'appartement encore à poil pour aller prendre mon petit déjeuner. Depuis, j'ai pensé à mettre un caleçon avant et je m'y suis habitué. De plus, j'aime bien avoir un colocataire, surtout elle. Elle est marrante et a une personnalité vraiment à part et surtout elle n'est pas désagréable à regarder. Nos caractères peuvent tout à la fois se compléter tout en pouvant être opposés et de là part quelques disputes jamais très méchantes. Surtout que, même dans nos moments de disputes, elle m'attire. C'est comme si soudain, depuis qu'on a en quelques sortes renoué contact, tous mes souvenirs de cette nuit me revenait et elle m'attirait de plus en plus. Que ce soit par son physique ainsi que sa personnalité. Serais-je entrain de tomber amoureux ? Aucune idée puis à vrai dire, j'ai pas envie de me poser la question car au fond je connais la réponse, surtout quand des papillons dans le ventre viennent me chatouiller lorsqu'elle m'effleure la joue. On dirait un ado, pauvre de moi. Néanmoins, on a bel et bien craquer, au bout de deux mois de colocation, c'est pas mal non ? Le pire c'est que le lendemain on a fait comme si c'était normal et que parfois le soir on fait exprès de venir tôt à l'appartement pour avoir le plus possible de temps avec l'autre et ça repars, hop. Et ça n'a pas l'air de lui déranger, moi ça ne me dérange pas non plus. De toute manière, je n'ai envie que d'elle et pas d'une autre. Elle, elle s'amuse à me rendre jaloux on dirait même au bar et putain qu'est-ce que ça m'fait chier. Mais le soir, ça repars et on oublie puis la vie continue ainsi.
Néanmoins, cette petite habitude agréable vint à ralentir. En effet, elle devint assez distante en ce moment et j'ai peur qu'il ne se passe quelque chose de pas bien dans sa vie. Peur que son frère ne ramène sa fraise et gâche tout ça, peur qu'elle ne se lasse de moi même si on est même pas ensemble, peur qu'elle soit amoureuse de quelqu'un d'autre que moi.. Bref, ça me fait chier et ça m'amène à beaucoup plus réfléchir à notre relation du coup, ce qui me fait chier aussi. Le truc que je sais pas, c'est que de son côté, cette jolie demoiselle est inquiète, inquiète pour elle et son avenir bien sûr, mais surtout inquiète pour l'avenir de l'être qui pousse à présent dans son ventre.
 
. ça reste entre toi et moi ...
Dernière édition par R. Tcheky Mikelson le Mer 22 Fév - 14:50, édité 5 fois |
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RÉGION : Languedoc-Roussillon COMMENTAIRE : J'overkeaf un peu tout, surtout les smileys 
ps: je fais mon comeback dans le rpg avec vous, après un an d'abstinence, je n'ai normalement pas perdu la main et j'ai hâte 
bienvenuuuuue 
Bienvenue