⋄ almost lover.

crédits : tumblr.

ludvina zoélie, darwin
FEAT. KAYA SCODELARIO

. comment s'intégrer ...

PRÉNOM : ludivina. NOM DE FAMILLE : darwin. ÂGE : 23 ans. MÉTIER : étudiante. GROUPE : petites annonces ... SITUATION AMOUREUSE : célibataire. TRAITS DE CARACTERE : caractérielle,, possessive, impulsive, extravertie, arrogante, méfiante, rancunière.. AIME : la musique, la danse, le son du violet, son frère, le chocolat noir, le gout de la téquila, le citron, les framboises, la pistache. AIME PAS : son père cuisiner, le vert, les clowns, titanic, brad pitt.

. y croire, c'est déjà presque réussir ...
Ludivina est du genre secrète à ne jamais dire ce qu'elle peut ressentir hormis à son frère ⋄ L'absence de son père la ronge ⋄ A tendance à s'endormir devant les films romantique ⋄ Elle s'est rogné les ongles pendant plus de dix ans mais y as mit fin après un pari ⋄ Elle joue de la guitare depuis toujours, elle a apprit seule avec les mélodies des Beatles ⋄ Elle ne supporte pas la couleur vert, car c'était la favorite de son père ⋄ A eu sa période végétarienne pendant son adolescence ou elle refusait de manger de la viande ⋄ A commencé à fumer à l'âge de quinze ans et à la cacher à son frère par peur de son jugement ⋄ Elle tri ses MM&S par formes et par couleurs avant de les manger ⋄ Est allergique au concombre ⋄ Elle a toujours rêver d'aller sur la lune ⋄ C'est une tête en mathématiques et en sciences même si elle ne se donne pas la peine de bosser en cours ⋄ Est assez pétarde, amusante et joyeuse, veut profiter de la vie et de ce qu'elle peut lui ouvrir ⋄ Il lui arrive d'être serveuse dans un bar le week end ⋄ A une collection de vernis incroyable ⋄ Fonde tout ces espoirs en son frère ⋄ Adore regarder Kick-Ass ⋄ Trouve qu'il n'y as rien de mieux au monde que les films en noir et blanc ⋄ Adore la glace aux cookies ⋄ Est capable de faire un scandale si quelques choses ne lui plait pas ⋄ N'as pas sa langue dans sa poche ⋄ Cache toujours une bouteille de téquila dans sa chambre ⋄ A perdu sa virginité avec un copain de son frère mais lui cache.

. à chacun son histoire ...
" C'est donc ça que l'on fait chez un psy ? On s'assoit et on parle ? C'est un peu ennuyant vous ne trouvez pas ? Et il est ou mon fauteuil rouge ? " je soupirais à l'idée de passer une nouvelle heure ici n'ayant aucune idée de ce qui me faisait revenir depuis deux semaines. Les séances d'avant ne furent pas constructive, je n'avais rien dit. Je croisais les jambes en fixant les prunelles bleu du docteur Olson " J'ai entendu dire que vous étiez la meilleure c'est vrai ? " elle hocha la tête " Vous allez passer votre temps à faire des hum hum et à hocher la tête pendant que je parle ? " elle recommença ce qui au fond n'était pas si mal. Le silence s'imposa et je restais là sans rien dire à fixer un tableau de Monet accroché sur le mur blanc, une copie sans doute, une photographie agrandit ou quelques choses ressemblant à l'original mais je m'en fichais. Je me demandais si j'allais finir par parler ou peut être partir en courant n'ayant pas le courage d'affronter mes problèmes, c'était peut être le but, ne pas être assez ouverte ou courageuse et se confier à un inconnu dans l'espoir de trouver une réponse quelques pars après tout pourquoi pas. Je soupirais doucement avant de passer nerveusement mes mains sur mes jambes " J'ai été trahie, abandonnée, lâchée, oubliée " je ne l'avais jamais dit à haute voix et cela me fit un bien fou comme une libération " Mon propre père vous imaginez ? " c'était mon problème, le mensonge, son mensonge, notre histoire brisé. " Je suis désolée Ludivina " sans réellement le vouloir mon regard doux tourna à quelques choses de plus sombre " Je n'ai pas besoin de pitié, ne soyez pas désolée " elle ne dit rien de plus à ce sujet. Une seconde s'échappa et mon regard se perdit dans le ciel bleu que je pouvais apercevoir de la fenêtre. " Pourquoi êtes vous ici Ludivina ? " sa voix douce me sorti de mes pensées alors que je tournais la tête d'un mouvement rapide " Pour parler je suppose " je n'avais rien dit à personne sur ce que je pouvais ressentir, sur mes doutes et mes peines et sur la colère que je gardais au fond de moi mais cette fois j'en avais besoin " J'veux dire comment quelqu'un qui était là le jour ou vous avez vu le monde, ou vous avez appris à marcher, à parler peut vous abandonnez en quelques secondes, comme si vous étiez la chose la plus ordinaire du monde " je me tournais n'osant pas réellement affronter un regard, les larmes me montèrent, je détestais tellement ça. Comme toujours je m'enfuie.

" Maman c'est moi " je passais la porte de la maison en rentrant. Je posais mon sac dans l'entré en me glissant dans le couloir. C'était tellement calme que c'était presque déprimant " Dans le jardin chérie " nous étions très proche elle et moi, c'était presque ma meilleure amie dans ce monde puis depuis que mon père était parti, je n'avais rien de plus précieux si ce n'était mon frère. Je sautais sur le sofa qui orné la terrasse en m'installant sur le dossier " Tes pieds chérie " je soupirais en m'installant bien sur le canapé presque en grognant mais c'était dans mes habitudes de râler pour un rien " T'as vu Blaze aujourd'hui ? " c'était aussi un part de moi, une vrai mère poule avec mon propre frère et se besoin de lui parler tout les jours et de savoir comment il allait. Elle haussa les épaules et je compris qu'elle n'en avait pas eu " J'suis sur qu'il râlera quand il verra mes 10 000 messages " je ris presque amusée de la situation. Je lui souris doucement, en réalité j'étais toujours mal à l'aise à lui demander comment allez sa vie et si elle était heureuse mais j'étais juste inquiète au fond " Dis je me demandais si tu voyais quelqu'un ? un ami peut être ? " je me mordis doucement la lèvre regrettant déjà ma question " Non chérie " en réalité je ne lui avais jamais demandé si elle souffrait du départ de papa, nous n'en avions jamais parlé, j'agissais comme celle qui s'en fichait totalement de son départ même si le seul capable de lire en moi était Blaze. Je pris une longue respiration " Écoute, ça me va si tu vois un mec, j'veux dire ça me gêne pas, je serais contente et Blaze aussi et au pire on s'en fou " je ris doucement " Faut que j'y aille maman " je souris déposant mes lèvres sur sa joue un peu mal à l'aise en réalité de cette discutions. Je me glissais jusqu'à la porte d'entré avant de rentrer chez moi détestant parler de ça.

« Karen je m’ennuie, j’peux te faire les ongles ? » je ris prête à trouver n’importe quel moyen pour ne pas rester là à attendre que le temps passe « On pourrait aller à cette fête, tu sais sur la plage » je lui souris « S’teu plait » dit-je en la suppliant du regard comme une petite fille innocente. Karen était ma meilleure amie, en réalité elle était beaucoup plus que ça, je n’avais même pas de mot pour définir tout ça « T’as surtout envie de te saouler toi » je ris, elle lisait mes pensées à la perfection, je n’étais pas du tout alcoolique mais j’adorais ça, boire, oublier, m’amuser, n’avoir aucune limite et profiter de ma jeunesse et au passage de mon corps de rêve « Je suis belle, sexy et carrément sublime à regarder danser, faudrait pas priver le monde d’une tel beauté » je ris, amoureuse de moi-même parfois « J’te rappelle Connor (petit ami de l'époque) ? » je fis une petite moue innocente dont j’avais le secret « T’en fais pas, t’es pas mal toi aussi » je n’avais aucun secret pour elle, elle était ma préférence et ma plus belle chose, un peu ma pierre précieuse et j’adorais m’amuser, jouer et me divertir en sa compagnie sans avoir peur d’être ridicule ou stupide ou pas assez bien. Comme prévu nous passions la nuit à danser toute la nuit, moi à me plaindre car mes talons me faisait mal, que ma robe était trop serrer et que je voulais me coucher « Tu fais dodo avec moi hein ? Tu veux tu veux ? » j’étais fatiguée, me trainant mes chaussures à la main « Mais oui, mais oui » je souris en rentrant dans l’appartement « Oup’s » je ris alors que je chercher mes clés sur le sol, les ayant fait tomber sur le sol. Je fis la main ne les trouvant pas alors que Karen ouvrit la porte et m’aida à rentrer dans l’appartement. Je me couchais à ces cotés comme souvent d’ailleurs dès que nous rentrions d’une soirée « Karen… » j’étais à moitié endormi sur le lit en la regardant épuisée « Oui cendrillon ? » je ris à ce petit surnom « Je t’aime » je lui souris en m’endormant « Moi aussi » il en était parti, pour le pays des rêves.

. ça reste entre toi et moi ...