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Once upon a time...

Il y à un moment...

J'ai vu le jour il y a un peu plus de vingt quatre ans à San Madena , je suis le premier enfant de Joseph Calderone ( qui se prononce Calderoné ) et de Garance Hermès, j'ai donc des origines françaises et italiennes et je parle l'anglais, l'italien et le français. J'ai grandis dans une immense maison luxueuse, j'ai été gâtée pourrie, j'étais une véritable princesse. C'est à l'âge de quatre ans que j'ai commencer à jouer du piano, plus tard j'ai même pris des cours de dessin et de guitare. J'avais six ans quand ma êtite soeur à vue le jour, et une espèce de compétition entre elle et moi s'est crée, pas dès le début non, nous étions deux soeurs très proches, et je l'adorais comme si elle était mon sac D&G c'est pour dire. J'ai toujours été une très bonne élève, j'étudiais bien sagement, j'avais les meilleures notes et je rendais mes parents très heureux. Et dès le berceau j'ai été promise à un future riche héritier américain, un ami de mes parents. Disons que les amours de bacs à sable sont comme les amitiés de bac à sable, increvable. Ezechiel Fitz-Pierce “Izy” je suis tombée amoureuse de lui dès que je l'ai vu j'ai su que je voudrais passer ma vie à ses côtés.
Mes parents m'ont envoyée dans un pensionnat en Suisse pour faire des études de graphisme et j'en passe, j'avais seize ans et ils m'envoyaient loin du garçon de ma vie, et disons que j'ai été élevée selon les grandes coutumes comme au temps des château forts, donc heureusement que j'étais amoureuse de lui, je ne pouvais pas leur refuser quoi que ce soit, ce sont mes parents. Donc je m'envolais pour la Suisse, dans l'avion je faisais une étonnante rencontre Deanna Greens, une fille de nouveaux riches anglais qui l'avaient eux aussi envoyée en Suisse pour des études de médecine. Disons que cette fille là m'intriguait énormément, elle était libre, disait tout ce qu'elle pensait, elle n'était pas correcte. Le hasard à voulu que nous partagions nos appartements, je vivais donc sous le même toit que cette étrange jeune fille, elle se droguait, buvait énormément aussi, enfin à côté moi j'étais la sainte vierge. J'avais dix neuf ans et j'étais rentrée à la maison pour les fêtes de Noël quand on m'annonca qu'une marque de cosmétiques voulait que je sois son égérie, j'ai tout abandonné et je suis allée vivre à New-York avec mon futur époux, et j'y ai d'ailleurs passé les meilleures années de ma vie. Je suis restée quatre ans là-bas avec lui, en quatre ans je me suis fait connaître, j'ai même pus mettre en place ma marque de vêtements, mais un soir ma mère me téléphona -il y a un an de ça- elle me demandait de rentrer à la maison pour m'occuper de la maison et de Sara parce que les affaires battaient de l'aile et aussi parce qu'ils devaient être sur le terrain pendant quelques temps histoire de relancer l'affaire. Je m'exécutais et le lendemain j'étais rentrée, mais l'acceuil fut bien différent de ce que je m'attendais, Sara n'étais plus heureuse de me voir rentré, elle s'en foutait même et me lançait des piques à tout va.

« Disons que depuis que je suis rentrée seuls les affaires des parents semblent repartir doucement, moi mon future mariage menace de s'effondrer parce que monsieur refuse presque de venir vivre chez mes parents en attendant, ma petite soeur me déteste du plus profond de son être, du moins c'est ce que je crois et Ezechiel m'a trompé il y a six semaines et il me l'a dit par mail. Qui à dit que l'argent faisait le bonheur ? »

De nos jours...




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« Sveglia, piccolo brutto, tu sarai tardi a scuola ! »  lève-toi petit laideron, tu vas être en retard à l'école ! avais-je râlé en frappant de trois coups à la porte de la chambre de ma petite sœur. « No ! Lasciami in pace ! » Non, laisse moi tranquille! Avait-elle crié « In dieci minuti, se non sei giù io che ottiene il letto Sara ! » si dans dix minutes tu n'es pas descendue c'est moi qui te tire du lit Sara ! je soupirais alors, passant mes cheveux derrière mes oreilles et je descendais les marches de l'escalier en colimaçon. Je n'avais pas dormis, j'avais encore passé la nuit sur mes créations, des centaine de dessins et des centaines de matières comme le tweed, le jeans, la soie et j'en passe. Je n'avais plus de touché et j'étais complètement fatiguée, j'avais seulement besoin d'un café, ou de tout le contenu de la cafetière, dans l'état où j'étais l'un comme l'autre m'aurait été bénéfique. J'entendais du bruit au premier étage et je souriais, elle se levait enfin, je me servait une grande tasse de café dans lequel je mettait un peu de chocolat en poudre et un peu de crème. Un éspèce de zombie chevelu descendait les escaliers d'un pas lourd et maladroit, je crois qu'elle n'étais pas de bonne humeur – mais quelle adolescente est de bonne humeur le matin ? - je la regardais, m'adossant contre le plan de travail, tasse à la main. « Bien dormis petit monstre ? » elle me regardais blasée alors que je disposais le petit déjeuné sur la table, elle s'installait toujours en silence et attrapait un bol et du lait « Tornare alla cagna marciapiede » retournes faire le trottoire. Je haussais les sourcils en la fixant, ce qu'elle venait de dire ne mérite même pas de traduction, dès le matin elle me cherchait et je n'aimais pas ça. J'inspirais – je suis une lady – je mettais ma tasse dans l'évier « Bon écoutes Sara, papa et maman ne sont pas près de revenir et nous sommes forcées de vivre sous le même toit en attendant alors s'il te plait fait un effort. » Elle relevait la tête vers moi, avec ce regard de tueuse « Moi aussi je suis obligée de te supporter Charlotte, alors arrête de faire comme-ci c'est plus dûr pour toi que pour moi. » Nous allions nous disputés encore, comme chaque matins, comme chaque jours. J'aime ma petite soeur à la folie même, e premier qui tentera de lui faire du mal je le tuerais de mes mains seulement... Seulement je n'arrive pas à lui montrer, à lui faire comprendre que je l'aime et elle est persuadée que je ne la trouve pas assez bien – gamine. « Ecoutes Sara, j'ai rien demander à papa et maman. Ils m'ont demandés de rentrer pour prendre soin de toi et j'ai simplement obéis, tu crois que ça me fait plaisir d'être coincée ici avec toi dans les pattes et qui plus est mon fiancé est à des kilomètres de moi. Alors non je veux bien comprendre que je suis une insupportable snob, une vraie garce qui sait ce qu'elle veut et qui essaye de faire bonne figure pendant que les affaires de nos chers parents sont en train de couler. Non je ne suis pas heureuse d'être revenue mais je n'ai pas eu le choix, je sais que tu es grande et que tu n'as pas besoin de ta soeur sur le dos mais tu n'as pas à m'en vouloir parce que MOI non plus je n'ai rien voulu de tout ça ! » J'inspirais pronfondement, j'avais été maladroite dans mes propos et je n'avais rien arrangé, je soupirais alors en me redressant « Monte te préparer, je t'emmène dans une demis-heure. » avais-je finis par lâché sèchement en la fixant, j'avais hausser le ton et froncer les sourcils, elle me tapait sur les nerfs – insolente.

. ça reste entre toi et moi ...

PSEUDO/PRÉNOM : Rebecca ou Monster. ÂGE : 18ans. RÉGION : Seine et marne. COMMENTAIRE : Le design et les css sont sublimes .